Le Bureau National de l’Union des Radiodiffusions et Télévisions Libre du Mali a tenu une conférence de presse le 30 octobre à la maison de la presse au sujet du communiqué concernant les lettres de notification de fermeture de certaines radios au Mali par la (HAC).
Environ une quarantaine de radios ont reçu des lettres de notifications de fermeture, pour retard de paiement des redevances de quatre années. Cette décision concerne huit(8) radios de la région de Kayes, une(1) de Kita, deux (2) de Koutiala, dix (10) de Nioro, quatre (4) 2 Bougouni, quatre (4) de Douentza, deux (2) de Koutiala, deux (2) de Youwarou, une (1) radio de Djenné, une (1) de Teninkou, trois (3) de Douentza, six (6) de Ségou et deux (2) de San etc.
Quant au président de l’URTEL Mamoudou Bocoum, les radios privées n’ont pas refusé de payer les redevances de fréquence, elles accusent du retard dans leurs paiements. Mais cette situation est justifiée par les conséquences de la pandémie de coronavirus, les sanctions jugées illégitimes et inhumaines de la CEDEAO, les efforts déployés pour rétablir la souveraineté du pays et la lutte contre le terrorisme.
Sachant que l’URTEL est contre pour la fermeture des radios, les maliens doivent s’unir pour accompagner les autorités de la transition dans la réussite de la refondation de l’État, précisa le président de l’URTEL.
La rédaction
