
Il ressort de l’analyse des résultats de l’évaluation du 1er semestre du Plan d’Action du Gouvernement 2025-2026 que sur les 132 activités programmées, il y’a eu 57 réalisations, soit 43,18% ; 57 en cours de réalisations, soit 43,18% ; et 18 non réalisées, soit 13,64%.
L’information émane d’un rapport produit par le Premier Ministre lui-même, le Général de Division Abdoulaye Maïga, lors du Conseil des Ministres du 19 novembre dernier présidé par le Chef de l’Etat, le Général d’Armée Assimi Goïta. Ce, au chapitre de la communication écrite relative au rapport d’évaluation du 1er semestre du Plan d’Action du Gouvernement 2025-2026 .
Faut-il le signaler, le Président de la Transition, Chef de l’Etat, lors du Conseil des Ministres du 27 novembre 2024, a adressé au Premier ministre, Chef du Gouvernement, une lettre de cadrage comprenant 8 axes prioritaires devant servir de fondement à l’élaboration du Plan d’Action du Gouvernement pour la période 2025-2026. Ces priorités, qui s’inspirent des préoccupations légitimes du Peuple malien, poursuit le même communiqué, sont en phase avec les conclusions du Dialogue inter-Maliens, ‘’Mali Kura ɲɛtaasira ka bɛn san 2063 ma’’ et la Stratégie nationale pour l’Emergence et le Développement durable 2024-2033.
Que le Plan d’Action du Gouvernement, objet de la présente évaluation, a été présenté le 16 mai 2025 par le Premier ministre, devant le Conseil national de Transition et adopté le 19 mai 2025. « Pour assurer un meilleur suivi des activités, un dispositif informatisé de suivi et d’évaluation, dénommé Système Intégré de Suivi-Evaluation du PAG 2025-2026 a été mis en place » affirme le communiqué et qu’il ressort de l’analyse des résultats de l’évaluation du 1er semestre que 132 activités ont été programmées sur lesquelles 57 réalisées, soit 43,18% ; 57 en cours de réalisation, soit 43,18% ; et 18 non réalisées, soit 13,64%.
D’ailleurs, que pour améliorer la performance globale, les efforts porteront sur la consolidation du maillage sécuritaire du territoire ; la mobilisation et la mise à disposition des ressources financières adéquates et le renforcement du dialogue et de la coordination entre les départements ministériels.
Mariam Sissoko