Dans le cadre de ses actions de renforcement des capacités des Organisations de la Société Civile (OSC), de l’Office Central de Lutte contre l’Enrichissement Illicite (OCLEI) et des institutions partenaires, le Projet d’appui à la Lutte contre la Corruption pour et par l’Égalité de Genre (LUCEG) a organisé, les 2 et 3 juin 2025 à l’hôtel Dunia (ex Nord-Sud), un atelier de capitalisation sur l’équité et l’égalité de genre (ÉÉG).
Cette activité avait pour objectif de dresser un bilan des initiatives menées, d’identifier les bonnes pratiques et de tirer parti des expériences acquises, en vue de renforcer l’intégration des principes d’équité et d’égalité de genre dans les politiques publiques et les projets de développement.
La séance d’ouverture a été marquée par le mot de bienvenue du représentant d’Affaires mondiales Canada (AMC) et conseiller stratégique du projet. L’atelier a été animé par la directrice du projet, ainsi que par le directeur du bureau local à Bamako. Ils étaient soutenus par l’équipe locale du projet, notamment les responsables des composantes OSC et OCLEI, le responsable du suivi-évaluation et le conseiller stratégique.
L’objectif principal de cette rencontre était de dresser un état des lieux, de capitaliser les expériences acquises en matière d’équité et d’égalité de genre, et d’identifier les défis rencontrés. Elle a réuni des acteurs impliqués dans la mise en œuvre de projets sensibles au genre : des représentants d’institutions publiques, des experts, ainsi que des membres de la société civile.
Durant les deux jours de l’atelier, les participants ont partagé leurs expériences, leurs réussites ainsi que les difficultés rencontrées. À travers des discussions interactives et des travaux de groupe, ils ont analysé les facteurs de succès et les obstacles à surmonter. La première journée a été consacrée aux travaux de groupe, tandis que la seconde a permis la restitution des résultats des discussions.
Cet atelier a favorisé un climat d’apprentissage entre pairs, tout en permettant aux participants de renforcer leurs compétences, d’élargir leurs perspectives, et de faire émerger de nouvelles idées et pistes d’amélioration pour une meilleure prise en compte du genre dans les actions à venir.
Youma A Cissé
